Ce circuit présente quatorze milieux de vie par l’entremise des fontaines artistiques du territoire de la MRC Abitibi. Chaque fontaine propose une halte et est facile à repérer à l’aide de la carte interactive offerte en Balado. Il permet de découvrir les oeuvres d'artisans locaux.
Il s'agit d'un circuit du patrimoine religieux et spirituel, disponible en balados, mettant en valeur l’histoire et le patrimoine bâtis, matériels et immatériels de 13 municipalités. Ce circuit fait découvrir l’époque de la colonisation et du développement des paroisses. Cela permet de visiter et d'en apprendre sur les municipalités d’Amos-Harricana d'admirer les 16 œuvres représentées par des cloches, symbole de la foi des pionniers.
Il s'agit d'une thèse de doctorat en anthropologie qui porte sur la tradition orale des Algonquins de Kitcisakik.
Il s'agit de la fiche de désignation du Lieu historique national du Canada d'Obadjiwan–Fort-Témiscamingue. Elle est organisée selon les sections suivantes: plaque existante, description du lieu patrimonial, valeur patrimoniale et éléments caractéristiques.
L’article est l’un des premiers à présenter l’expédition du chevalier de Troyes en Abitibi et jusqu’à la baie James autant du point de vue des Anicinabek que de celui des Français. En ce sens, il est utile pour une meilleure compréhension du passé de la région même s’il met un certain accent sur Rouyn-Noranda.
Cette thèse de doctorat se consacre à la lutte de la communauté de Kitcisakik qui tente de protéger son mode de vie et sa culture en contexte de déforestation sur sa terre ancestrale. Ce document touche en particulier aux traditions anicinabek (Kitcisakik) entourant la forêt et au volet des paysages culturels.
Dans le cadre de la démarche CULTURAT, Tourisme Abitibi-Témiscamingue, de pair avec les membres du Cercle culturel anicinabe,
désire multiplier les occasions d’échange entre les Allochtones et les
Anicinabek (Algonquins). Ce portrait des communautés anicinabek
de l’Abitibi-Témiscamingue s’inscrit dans
cet objectif de rapprochement des peuples piliers de la stratégie
CULTURAT. Il présente la couleur de chacune des communautés
de notre région, ses valeurs, ses points forts, ses richesses et ses
réalisations. Ce document couvre plusieurs volets patrimoniaux en se consacrant à toutes les communautés anicinabek de la région.
Il s''agit d'un rapport qui s’inscrit dans le cadre d’un projet mené par l’organisme Minwashin, lequel vise à promouvoir le patrimoine culturel anicinabe. Ce faisant, Guillaume Marcotte a été mandaté pour pour amorcer une recherche exploratoire concernant le patrimoine graphique anicinabe décrit dans les sources écrites anciennes. Ce rapport est organisé selon les différents types de support à l’expression graphique.
Ce répertoire fait découvrir plusieurs artistes et les porteurs culturels anicinabek. Pour chaque artiste et porteur culturel, on peut y voir un texte sur leur vécu et leurs réalisations accompagné d'un portrait.
Ce mémoire de maitrise apporte une meilleure compréhension des Métis de l’Abitibi. Ce mémoire interprète les témoignages de personnes s’identifiant comme Métis dans les villes de Senneterre et de Val-d’Or, dans leurs faits et gestes quotidiens, leurs réalisations collectives, leur vie politique, leurs interactions avec la société dominante et les communautés autochtones avoisinantes.
Pour répondre à l’une des préoccupations du plan de conservation du Parc d'Aiguebelle, le projet «d’histoire orale» semble avoir vu le jour vers 2012. La directrice et l’équipe de conservation éducation cherchaient à garder en mémoire les témoignages des pionniers qui se sont établis dans les municipalités entourant Aiguebelle. Ce projet devait se réaliser avant que les pionniers ne s’éteignent.
Ce projet a recueilli 15 entrevues filmées, d’une durée de 60 à 90 minutes, avec des pionniers provenant des localités entourant le parc, notamment de Mont-Brun, de Destor et de Taschereau.
En sélectionnant la région de l'Abitibi-Témiscamingue par la recherche avancée, il est possible de consulter les fiches de 16810 toponymes de la région. On peut y voir leur localisation sur une carte ainsi qu'une description. Cela dit, ce ne sont pas tous les toponymes qui comportent une description.
La section « Patrimoine et histoire » du journal culturel de l'Indice bohémien comprends des articles très variés de différents auteurs. Ces textes couvrent différents volets patrimoniaux de la région.
Il s'agit d'une courte synthèse de l'histoire de l'Abitibi produite dans le cadre du cinquantenaire de la région. On peut y retrouver de l'information concernant plusieurs municipalités accompagnées de photographies, notamment d'immeubles.
Il s'agit d'une exposition racontant l’histoire de la bande du lac Simon en Abitibi. Les membres de la communauté ont expliqué des réponses à ces questions: Comment était la vie quand nous parcourions ce territoire? Que mangions-nous? Où vivions-nous? Y avait-il des chefs? Comment apprenaient les enfants?
Cette bibliothèque virtuelle permettra d'accéder à la numérisation des archives, d'artéfacts et autres documents variés appartenant aux communautés anicinabek et leurs membres. Cette bibliothèque permettra aux Anicinabek de préserver et de diffuser leur patrimoine.
Sur le portail Encyclobec, il est possible de lire en ligne plusieurs textes historiques écrits par Marc Riopel. Ses textes portent à la fois sur le Témiscamingue et l'Abitibi, et touchent à des volets variés du patrimoine.
Réalisé par Élise Bégin, cet inventaire comprend 14 fiches concernant le patrimoine immatériel en Abitibi-Témiscamingue. L'inventaire valorise et documente des savoirs, des savoir-faire et des pratiques sur le territoire. Cet inventaire touche également aux paysages culturels. Une fiche porte notamment sur la grotte de Notre-Dame-de-Lourdes (pour le pèlerinage).
Cet ouvrage, sous forme de bande-dessinée, présente l’histoire de la communauté du Lac Simon racontée par ses membres (groupe Miaji). Cet ouvrage a été réalisé en collaboration avec des anthropologues, notamment Marie-Pierre Bousquet. On peut y noter des témoignages de familles anicinabek, notamment sur les conséquences de la colonisation sur leur communauté.
Ce mémoire de maitrise en sociologie analyse les mouvements de population dans la région, plus particulièrement à Rouyn-Noranda. Il présente l'histoire du cosmopolitisme à Rouyn-Noranda.
Cet article de Guillaume Marcotte présente l'historique derrière plusieurs noms de lieux de Rouyn-Noranda. On peut y noter l'héritage anicinabe dans les noms de lieux de Rouyn-Noranda.
L’ouvrage est une synthèse historique accompagnée de plusieurs photographies historiques. Il est utile pour son iconographie inédite qui met en valeur des photographies touchant à des thèmes variés de l’histoire régionale, notamment le commerce de la fourrure, les pratiques agricoles, la vie quotidienne, etc. On peut y repérer plusieurs personnages, groupes et immeubles de la région.
Il s’agit d’un ouvrage de synthèse sur l’histoire de la région. Il permet de bien situer la place de l’Abitibi dans l’histoire régionale. Il s’organise en six chapitres selon des thèmes variés : géographie et géologie, présence des Autochtones, Témiscamingues et Abitibis, colonisation, activité forestière, crise économique des années 1930.
Histoire de l’Abitibi-Témiscamingue
BAnQ de la Grande Bibliothèque de Montréal, BAnQ de Québec, BAnQ de Rouyn-Noranda, Société d'Histoire et du Patrimoine de la région de La Sarre
Cet ouvrage est une synthèse de l’histoire de l’Abitibi-Témiscamingue par un collectif d’auteurs de différentes disciplines. Organisé thématiquement, il traite de la géologie, de la géographie et des Premières Nations. L’occupation du territoire de 1885 à 1950 est présentée en décrivant le rôle des missionnaires, des colons, des compagnies forestières et des entreprises minières. S’il montre les points communs avec d’autres régions, l’ouvrage fait aussi connaître la spécificité régionale dans le contexte québécois. Il met en évidence l’influence de la ligne de partage des eaux et de la faille de Cadillac sur les mouvements de colonisation.